Note de lecture de PIERRE DHAINAUT / deux livres d’Isabelle Lévesque
REVUE EUROPE novembre-décembre 2018 – Notes de lectures Note de Pierre Dhainaut à propos de deux livres récents d’Isabelle Lévesque […]
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L’empreinte du visible Ecrit par Carole Darricarrère 04.07.18 dans La Une Livres, Les Livres, Critiques, Arts L’empreinte du visible, éditions Al Manar, 2017, 148 pages, 25
Un article mis en ligne par Ciclic centre val de Loire Pierre Lecœur nous offre ici une analyse sensible du
Marie Alloy présente ses éditions Le Silence qui roule dans le cadre de l’exposition
Revue Texture – Notes critiques Une lecture de Philippe Leuckx (né en 1955 à Havay, il vit dans le Hainaut belge. Il
du 2 mai au 23 juin 2018 Vingt cinq ans des éditions Le Silence qui roule Exposition de l’ensemble des
Voici une exposition Galerie Anaphora qui va durer jusqu’au 17 février 2018, où je présente des gravures parmi celles d’autres
Un très beau lieu destiné aux graveurs et amateurs d’estampes. 13 rue Maître Albert, 75005 Paris à retrouver sur Facebook
Vient de paraître aux éditions L’Herbe qui tremble : « Si je t’oublie » poèmes de Fabien Abrassart Préface de Philippe Lekeuche,
Dans le numéro de la Revue Europe de novembre-décembre 2017 qui vient de paraître, Pierre Lecœur, retrace le parcours de
Marie Alloy, Cette lumière qui peint le monde par Isabelle Lévesque Marie Alloy, Cette lumière qui peint le monde,
Photo Joël Philippon. Le Progrès. Jacques Truphémus, né à Grenoble en 1922, vient de nous quitter ce vendredi 8 septembre
Vingt trois poètes d’aujourd’hui En quatrième de couverture : » A travers ces ensembles inédits, ce que propose cette anthologie,
Extrait d’un poème de Giacomo Leopardi (écrit en 1836) Le Vésuve. « Et les hommes préfèrent les ténèbres à la
Rencontre devant l’étang « C’est au cœur de deux espaces, on ne peut plus personnels, que se fit la rencontre
« Chaque fois que l’aube paraît le mystère est là tout entier » René Daumal Poésie noire et poésie blanche. « Mais
Il est bon de lire et relire « Vie sans origine », de recevoir des éléments naturels et de l’amour, la « rude
Luc Dietrich avait été initié à la photographie par André Papillon. Il avait réalisé et publié un recueil de son
« Flaques de verre » « Dans l’abîme doré, rouge, glacé, doré, l’abîme où gîte la douleur, les tourbillons roulants entraînent les bouillons
*** La chaîne des éléments. Luc Dietrich à Lanza del Vasto. « Alors l’homme cherche Dieu entre les branches
détail « Le désordre du monde« , huile /toile, 116 x 73 cm, 2017 « S’il est vrai que la peinture ne trouve
Depuis de nombreuses années, relisant régulièrement « Emblèmes végétaux », je me dis que, décidément, j’aime ces textes poétiques ! Voilà une voix